Lorsque la protection de la magnétosphère devient moins efficace, il y a des anomalies dans les temps des marées, dues à la variation du méridien magnétique local, suite à une interaction avec les composantes magnétiques du vent solaire.
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Si la vitesse du vent solaire augmente.
Pendant une telle interaction, à fur et à mesure que la vitesse du vent solaire augmente, l'angle et le temps entre le faisceau du vent solaire (M) et celui de la lumière (L) diminue.
Dans l'hémisphère nord.
En d'autres termes, c'est le temps de (M) qui retarde. Aussi bien que les figures d'eau et la génération de la marée.
Pourvu que lesdites conditions se maintiennent pendant assez d'heures - par rapport au temps entre les premières manifestations de la marée (diminution de densité de l'eau), et l'arrivée de l'onde de marée sur la côte - on aura une marée en retard.
Si la vitesse du vent solaire ralentit.
Par contre, avec une vitesse lente du vent solaire, les temps des spatioles, et ceux des marées avec, tendraient à être en avance.
Resumé.
Suite à une interaction non éphémère du magnétisme de la Terre avec celui associé au vent solaire, les marées auraient tendance à être en avance, quand la vitesse du vent solaire est petite; et en retard, quand elle est élevée.
L'exemple de fin octobre 2003.
Après la tempête solaire de fin octobre 2003, j'ai mis en ligne le cas d'un changement des temps des marées à Venise.
D'autres exemples.
À présent (2012-06-29), je n'ai pas d'autres exemples à communiquer.