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introduction - prologues: sur les graines - sur les marées
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Itinéraire 2.3, page 2. - Sur les marées.
--- 2.3.7 ---
Lorsque des processus cumulatifs-dissipatifs sont observés.
Ces processus peuvent être enregistrés lorsqu'ils deviennent évidents. Cela se produit dans au moins trois conditions :
(1) lorsque l'eau est immobile, mais non stagnante, et que les deux processus alternent, de manière plus ou moins ordonnée, presque à l'unisson (NB : gardez à l'esprit que l'alternance des deux processus produit une variation continue de volume et un mouvement apparemment frénétique, mais que l'eau reste immobile) ;
(2) lorsque l'eau se déplace par rapport à la Lune à l'une des vitesses angulaires critiques pour l'eau ;
(3) que les valeurs de (2) sont également durables, c'est-à-dire que leur variation/h est nulle, ou très proche de zéro, comme le montre le graphique.
Exemple.
Le phénomène s'est produit le 18 mars 2011, à 10 h 59, au point c du calendrier, à la vitesse angulaire critique de deltins 139,4/hr..
À cette date et à cette heure, le phénomène que j'appelle « figures d'eau » (lorsque les formes tendent vers des carrés) s'est produit. Dans d'autres circonstances, on observe plutôt des « ondes de densité » (lorsque les formes tendent vers des rectangles ou des rayures).
Dans des conditions très particulières, lorsque l'eau est parfaitement immobile, le phénomène peut également se produire en pleine mer.
--- 2.3.8 ---
Seulement dans certains cas.
Il arrive parfois, lorsque la vitesse angulaire par rapport à la Lune atteint l'une des vitesses angulaires critiques, et peut-être aussi pour une autre raison nécessitant une étude, que se produise le phénomène des figures d'eau et des ondes de densité, que j'ai interprété comme suit.
Il se produit lorsque toutes les molécules d'eau, stationnaires et en harmonie les unes avec les autres, dans un volume significatif d'au moins un mètre cube, alternent à l'unisson, en temps rapproché, entre les deux phases – cumulative et dissipative.
Comme le montrent les vidéos, la différence de volume occupé par l'eau dans les deux phases – cumulative et dissipative – est considérable.
Un pari risqué.
À ce stade, je serais enclin à parier que le volume maximal est atteint dans la phase cumulative, sans exclure que l'inverse puisse se produire. Il vaut donc mieux ne pas parier.
--- 2.3.9 ---
Quand cela se produit-il ?
À Le phénomène se produirait lorsque le mouvement d'un grand nombre de molécules d'eau par rapport à la Lune persiste pendant une période prolongée à une vitesse angulaire critique valable pour l'eau, rendant ainsi visible la variation de sa densité, même dans une zone limitée.
En résumé, je rappelle deux conditions pour ce phénomène. Il peut se produire : (1) lorsque le mouvement de l'eau non stagnante est très faible ; et (2) lorsque le mouvement de nombreuses molécules d'eau par rapport à la Lune persiste, pendant une période prolongée, à l'une des vitesses angulaires critiques auxquelles ce phénomène peut se produire.
Par conséquent, le phénomène est mieux défini lorsque la vitesse angulaire par rapport à la Lune ne varie que faiblement, et par conséquent que la durée d'une valeur critique de vitesse angulaire, lorsqu'elle se produit, est longue.
Ce phénomène peut se produire près des points a, b, c et d du calendrier utilisé pour les graines, mais aussi loin de ces points, en de rares occasions.
